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Ce livre n’a rien d’un thriller américain ou d’un polar suédois : pas de serial killer, pas d’assassin psychopathe... pas de cataclysme ou de fin du monde à combattre. C’est un roman « blanc », a contrario de « noir ». D’un côté les assistés sociaux, soutenus par l’État, le bénévolat et la bonne conscience, de l’autre les parias. Exclus. Précarisés morfals et profiteurs contre rejetés et défavorisés... Le propos est humaniste. Le cadre, social et exotique.
L’intrigue, c’est l’histoire d’une clef USB. Ou plutôt de sa perte. Par un ou des inconnus. Et de sa découverte. Par d’autres inconnus. C’est un mystère à résoudre. Une course à l’autre bout du monde. Entre Genève et Caracas. Sur fond d’État-providence en Europe, d’hyperinflation au Venezuela.
Black market, c’est le marché noir. La contrebande. Le trafic. Les trafics : produits de première nécessité, devises, drogue, armes, femmes, migrants... Évasion fiscale sous les tropiques ; règlement de compte entre mafieux russes ; traite des blanches ; secte bouddhique en mal de gourou...
Black market c’est tout cela à la fois... et rien de tout cela, il faut bien l’avouer !
Mikhaïl W. Ramseier, D'origine russe. Né en 1964 à Genève. Premier livre publié à 17 ans. Trente-six métiers. Départ à l'aventure autour du globe. Prof de français à Katmandou; voyagiste en Mongolie; tour leader en Afrique du Sud; cyber-café au Venezuela & Secrétaire de rédaction, journaliste, chroniqueur de presse écrite. Éditeur. Crée une revue littéraire, des guides marginaux de Moscou et Saint-Pétersbourg, un journal franco-russe. Publie des romans et des essais historiques sur les pirates et les Cosaques. Vit en famille entre la Suisse, l'Irlande, la Russie et les Amériques.
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